Ces prophètes de malheur n’auront jamais le dernier mot

« Là où il n’y a pas d’espoir, nous devons l’inventer ». Cette citation d’Albert Camus né un 7 novembre m’est revenue ce matin, un jour après l’écrasante victoire de Donald Trump.


Les partisans de ce dernier auraient pu perdre tout espoir de le voir occuper de nouveau le devant de la scène car à Trump rien n’aura été épargné par les petits journalistes et médiocres politiciens français: la haine, le mépris, les jugements dépréciatifs et sans appel. Jamais un homme ne fut autant traîné dans la boue que lui. Les médias européens corrompus et à la solde des immoraux oligarques le considéraient comme un individu dangereux, étaient persuadés qu’il serait battu à plate couture par les Démocrates devant qui ils ont l’habitude de ramper et avec l’accord desquels Mouammar Gadddafi fut assassiné et Laurent Gbagbo, bombardé, puis déporté à La Haye pour permettre à un de leurs valets de les enrichir sans effort.

Mais Trump, qui est loin d’être irréprochable, vient de leur montrer qu’il était résilient et combatif, que leurs stupides critiques et prédictions étaient le dernier de ses soucis et que le dernier mot appartenait aux électeurs américains et à Dieu dont eux ne veulent plus entendre parler.

Ce sont eux qui ont maintenant du souci à se faire parce que, si l’on en croit les révélations de Julian Assange, le nouveau locataire de la Maison blanche s’est engagé à démanteler le Deep state où se font des choses bizarres et dangereuses et à sanctionner ceux qui ont inventé toutes sortes de maladies pour exterminer une partie de la population mondiale et s’enrichir sur notre dos en nous vendant des vaccins bidon.

L’Afrique n’est pas condamnée à être humiliée, pillée et dominée par l’Occident avec la complicité d’Africains incapables de penser qu’il y a des choses plus importantes que la panse. Elle peut encore se faire respecter, mieux se positionner et retrouver espoir et confiance en elle-même, à condition, bien sûr, que la majorité de ses fils et filles ne prêtent plus attention aux mensonges des médias européens, à condition surtout qu’ils se mettent ensemble et au travail. Il faut arrêter d’utiliser les armes fabriquées ailleurs pour nous entretuer. Il faut arrêter de trop danser et de trop prier.

Jean-Claude Djéréké

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