La femme rurale en Afrique est de plus en plus souvent chef de famille. Ceci en raison de facteurs comme la migration des hommes, des crises économiques, et leur rôle essentiel dans l’économie familiale et communautaire. Elles assument souvent des responsabilités de la gestion du foyer et de l’éducation des enfants, contribuant de manière essentielle à la survie de leur famille et de leur communauté.
Conjuguer devoirs et droits de la femme avec son rôle du parent ou mère est une hypothèse à décrypter dans nos communautés actuelles, en Afrique Centrale en particulier, et en Afrique de façon globale. Connaître sa place en tant que femme, dans l’encadrement et l’éducation des enfants de nos jours en Afrique, est le thème qui meuble notre analyse aujourd’hui, dans cette édition de Femme Intègre et Intégrée de l’Afrique Centrale. Avec au menu l’état des lieux, conseils d’une Coach parentale, et de l’expérience d’une femme, mère et épouse, et Directrice d’école, dans la ville de Yaoundé au Cameroun, Madame Michèle Adissa MBOUETNE. Au micro de présentation de Nina Prisca MEKAM, sur Radio Intégration.
Au sommet de cette édition, Madame Cécile AKAME MFOUMOU poursuit sa mission en tant que Présidente Nationale de la Croix-Rouge Camerounaise (CRC). Elle a été votée avec unanimité à ce poste par tous les Présidents des Comités Départementaux présents. Organisée par surprise, la cérémonie d’installation de Madame la Présidente de la CRC, a une fois de plus montré et réaffirmé le dynamisme, l’engagement, le dévouement, la motivation et le professionnalisme de toute l’équipe autour de la Présidente Nationale. Tout le contour sur les secrets et astuces de la femme pour maintenir le sommet de son règne, c’est dans cette émission de Femme Intègre et Intégrée de l’Afrique, sur Radio Intégration, avec Nina Prisca MEKAM. Technique: Josué NABRAL.
La célébration du sextennat de Madame la Présidente Nationale de la Croix-Rouge Camerounaise, Cécile AKAME MFOUMOU, a eu lieu ce 12 août 2025, au siège National de la Croix-Rouge Cameroun (CRC), à Yaoundé. Une cérémonie de réception surprise et spéciale, qui met en lumière les réalisations de la présidente au cours de ses six années de mandat, et souligne l’importance du travail de la Croix-Rouge Camerounaise. Chansons, poèmes, discours et remise des cadeaux sont entre autres les points forts de ce grand jour, à la grande salle de réception de la CRC, sis à Yaoundé, Cameroun.
Chaque femme porte en elle une force naturelle, instinctive, riche de dons créateurs et d’un savoir immémorial. Mais la société et la culture ont trop souvent muselé cette » Femme sauvage » afin de la faire entrer dans le moule réducteur des rôles assignés». Clarissa Pinkola Estés, psychanalyse et conteuse américaine, le dit dans son ouvrage « Femmes qui courent avec des loups », paru en 2001 dans la collection Livre de poche. Ce livre, les femmes se le donnent entre elles. Comme un cadeau. Comme un cadeau d’initiation au combat contre ce que des siècles de civilisation ont essayé de changer, de faire taire, d’aliéner. S’il est un livre qui dépote nos vieilles habitudes et nous renvoie à la transformation et à l’abandon de vieux modèles de comportements destructeurs, c’est celui là. Comme le livre de Clarissa Pinkola Estés, la Journée de la Femme Africaine (JFA) interpelles. Chaque année, le 31 juillet, elle offre l’occasion de célébrer les réalisations des femmes africaines et de réfléchir aux progrès réalisés en matière de droits des femmes dans le continent. Moment important pour faire le point sur la situation des femmes en Afrique, la JFA est chargée d’éveiller les consciences et de claironner le refrain de l’autonomisation et la pleine participation à la vie sociale, économique et politique africaine. Et pour une 63ᵉ édition de la JFA, un thème bien tonique : « Faire progresser la justice sociale et économique pour les femmes africaines à travers les réparations ». Le libellé résonne comme un écho au thème annuel 2025 de l’Union Africaine : « Justice pour les africains et les personnes d’ascendance africaine par le biais des réparations ». C’est simple ; mais on touche à l’essentiel : «adopter une approche multidimensionnelle qui englobe la reconnaissance des torts passés causés aux femmes, la révision des politiques sur la condition de la femme, la transformation des structures économiques actuelles, la lutte contre la pauvreté et les normes sociales discriminatoires pour construire un avenir plus juste et égalitaire ». D’où le présent zoom. JRMA
Au ministère camerounais de la Promotion de la Femme et de la Famille (Minproff), « reconnaissance et réparation » ont été érigés en mots clés des festivités du 31 juillet dernier. «Cette édition (de laJFA) met en lumière le besoin d’agir pour corriger les injustices que les femmes africaines ont subies, aussi bien dans le passé qu’aujourd’hui sur le plan social et économique. Il s’agit de penser aux réparations sociales et économiques pour soutenir les victimes en allant au-delà des compensations financières en passant par l’accès aux services sociaux de base. L’objectif visé cette année est de contribuer à la reconnaissance et à la réparation des injustices historiques et contemporaines subies par les femmes africaines, à travers des actions concrètes de justice sociale et économique. Il s’agit d’une reconnaissance claire des souffrances subies par les femmes à travers l’histoire », a scandé le Minproff. celles faites Minproff au cours de la 63ᵉ édition de la JFA dessinent une courbe où se lit plusieurs enjeux. Ceux-ci combinent la reconnaissance des préjudices historiques et contemporains (causes) subis par les femmes (les souffrances vécues par les femmes) ; la correction des injustices structurelles, les conséquences des violations des droits humains et des inégalités ; et la garantie que ces préjudices ne se reproduisent plus. D’une manière générale, le Minproff suggère une rupture établie sur des fondements nouveaux et qui inclut des principes, des valeurs, des modes de faire qui n’enferme pas la Femme africaine. Il s’agit notamment de « la reconnaissance du rôle des femmes dans les luttes de libération et du développement du continent ; la réforme des lois et normes sociales discriminatoires ; mise en oeuvre des politiques d’accès préférentiel (quotas, subventions, financements dédiés) ; l’accès à des programmes spécifiques de soutien aux femmes marginalisées». JRMA
La 63e Journée de la Femme Africaine s’est célébrée ce 31 juillet 2025 sous le thème, « Justice pour les Africains et les personnes d’origine africaine à travers les réparations ». Au Cameroun, cette édition a permis à la ville de KEKEM de bénéficier de son centre de promotion de la femme et de la famille, inauguré ce 01 er août 2025, et c’est dans notre première Rubrique ETAT DES LIEUX. Retrouvez également dans cette édition nos Enseignants, Madame Marie Noêlle ETOUNGOU et Florent Brice TSALA, et notre stagiaire, Amélie ONGONO, qui viennent nous édifier sur les techniques d’encadrement des enfants pendant les périodes de vacances scolaire, dans la Rubrique COUNCELLING. Aussi, nous recevons Madame Michèle BITSEM, Directrice d’école, qui nous apporte son expérience en tant parent et Enseignante, dans notre Rubrique FEMME épanouie. C’est au micro de présentation de Nina Prisca MEKAM. ♨️L’exposition des pouvoirs de la femme Africaine dévoile des femmes talentueuses, créatives marquant l’histoire par leur contribution pour repenser le monde, transmettre les illuminations,les inspirations, les créations originales, fluctuantes. ♨️ La cérémonie à laquelle nous assistons est une contribution à la valorisation de l’expression artistique et de l’héritage culturel africain. Les œuvres en bronze qui nous sont présentées aujourd’hui incarnent l’essence de l’identité féminine africaine. Chaque sculpture, façonnée avec minutie, raconte une histoire de courage, de beauté et de résilience. Ces représentations témoignent de l’art comme vecteur essentiel du dialogue entre le passé et l’avenir. Elles invitent chacun d’entre nous à redécouvrir le rôle central des femmes dans la transmission de notre héritage culturel et dans la construction d’une société éclairée par la tradition et l’innovation. 🛑Ce vernissage n’est pas qu’un simple événement artistique, il est aussi le reflet de l’engagement indéfectible du gouvernement en faveur des droits des femmes. Le thème de la présente édition de la Journée de la Femme Africaine, à savoir « faire progresser la justice sociale et économique pour les femmes africaines à travers les réparations », invite toute la communauté à reconnaitre les injustices historiques et contemporaines dont sont victimes les femmes et à s’engager à des réparations.
La femme africaine de nos jours, chevauche de plus en plus entre son engagement dans le mariage et son épanouissement via l’accomplissement de son rêve. Face à la rareté du mariage, bon nombre de retrouve dans le camp du « mariage à tous prix ». Dans cette émission, vous retrouverez Dr Sandrine ORKUSA, Chercheur et femme mariée au foyer depuis le Cameroun, qui nous fait connaître son parcours, ses défis et challenges, sans oublier son engagement et couronne au fil du temps. C’est au micro de présentation de Nina Prisca Mekam, sur Radio Intégration.
Plusieurs femmes africaines sont dans ce dilemme d’embrasser le mariage au même moment que ses rêves. Face à la pression de plus en plus persistante de concilier les deux, elles se retrouvent face au mauvais rêve. Que faire? Les réponses se trouvent dans cette émission au micro de Nina Prisca MEKAM, sur Radio Intégration, avec pour invité, Dr Sandrine ORKHUSA.
Poursuivre ses rêves ou se marier? est une question très complexe à répondre par bon nombre de femmes de nos jours en Afrique. Face au contexte économique et social difficile, il est de plus en plus rare de rencontrer des femmes épanouies et heureuses, en adéquation avec leurs visions et rêves de vie. Dans cette nouvelle édition, retrouvez Madame Huguette Michèle NDOUMOU, qui nous partage son expérience et conseille les femmes, au micro de présentation de Nina Prisca MEKAM, sur Radio Intégration.
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